Le FRAPRU est présent et joint sa voix aux municipalités pour réclamer des solutions pérennes à la crise du logement.
L’organisme rappelle que les besoins des locataires à faibles et modestes revenus doivent être priorisés.
La rareté de logements familiaux et les hausses de coût du logement causent tort aux ménages.
Il en va de même avec la vétusté de plusieurs édifices locatifs et les stratagèmes frauduleux induites par la spéculation immobilière.
Le FRAPRU estime que le Sommet doit mettre aussi de l’avant des solutions viables et réalisables.
Celles-ci doivent placer les locataires à l’abri des dérives du marché privé.
La porte-parole du FRAPRU, Véronique Laflamme croit qu’il faut miser sur la propriété collective, le logement social, qu’il soit coopératif, sans but lucratif ou public, pour que ce soit abordable indéfiniment.