L’événement en question a eu lieu le 28 février 2021, lors d’une intervention policière.
Les policiers devaient mettre fin à un rassemblement intérieur avant la fin du couvre-feu.
Ils ont emmené au poste une femme de 23 ans pour des motifs de violence conjugale.
Cette femme se serait ensuite cognée la tête dans la voiture de patrouille jusqu’à perdre connaissance, ce qui a nécessité son transport à l’hôpital.
Le DPCP conclut, suite à l’analyse d’un rapport émis par le Bureau des enquêtes indépendante (BEI), que les agents du SPAL ne sont pas responsables de la blessure de la victime.
Le service judiciaire l’a d’ailleurs mise au courant de sa décision.
L’affaire est actuellement devant les tribunaux.
Une personne impliquée lors de l’intervention est effectivement visée par des accusations.
Ainsi, le DPCP ne commentera pas davantage ce dossier « afin de ne pas nuire à l’équité et à l’intégrité du processus judiciaire. »
Enfin, le DPCP publiera un communiqué à la fin de ce processus pour expliquer précisément sa décision et résumer les faits survenus.