Il joint sa voix à son collègue de Drummond Martin Champoux pour réclamer ce montant.
Il serait destiné à venir en aide aux médias secoués par la crise existentielle.
Il faudrait aussi qu’Ottawa tienne rapidement des états généraux sur l’avenir des médias et pour définir des solutions à mettre de l’avant.
Le montant proposé par le Bloc québécois correspond à la portion, pour trois mois, des revenus estimés depuis l’application de Loi C-18.
À cela il faut ajouter le blocus imposé par Meta sur le contenu des médias traditionnel d’information, indique M. Bergeron.
Le député maintient que cette somme devient une question de survie pour les médias privés de certains revenus, puisque les revenus publicitaires ont fondu depuis l’avènement des géants du web.
Enfin, Stéphane Bergeron affirme que: le Québec, et le pays, a le devoir d’agir pour assurer la survie des médias.
(Et), avec eux, celle d’un pilier fondamental de la liberté et de la démocratie.