Il répond sur les réseaux sociaux aux inquiétudes de citoyens désolés de voir ces résidences tombées sous le coup de machineries lourdes.
D’abord M. Tabarah indique que certaines démolitions se produisent avec des permis donnés par l’ancien conseil de ville.
Il est donc difficile de les stopper, ajoute-t-il et il serait illégal de les arrêter ou de révoquer les permis.
Jonathan Tabarah écrit que le comité de démolition sous l’administration Fournier ne s’est pas rencontré encore.
Il rappelle cependant que la mairesse a clairement dit qu’elle souhaitait avoir des citoyens et des organismes d’histoire et du milieu communautaire sur ce comité.
Il faudra alors établir de nouvelles procédures.
Enfin, le conseiller dit que les promoteurs désireux de poursuivre leur projet doivent dorénavant soumettre une demande à la Ville.
Désormais, la Ville structurera plus les démolitions et la reconstruction va tenir compte de facteurs architecturaux de quartiers.