Elle souligne au passage l’importance des milieux humides et des arbres dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Mme Villeneuve s’interroge sur le sort des puits de carbone.
D’ailleurs, selon elle, la rivière Richelieu, tout comme le fleuve Saint-Laurent, vital pour l’océan Atlantique, doit rester propre pour maximiser son absorption de carbone.
La co-porte-parole demande donc des garanties sur la qualité et la quantité d’eau prélevée par la compagnie.
Elle veut aussi des réponses sur l’impact éventuel sur la biodiversité post-installation.
Enfin, elle interroge sur le rôle de cette industrie dans la prospérité économique du Québec.