Ces résultats ont été de 9 élus en faveur de l’interdiction et de 5 contre, incluant le président de l’arrondissement Greenfield Park, Robert Myles,, pour respecter les résultats d’un sondage fait auprès des résidents de ce secteur qui voulaient les conserver..
Les conseillers de l’arrondissement Saint-Hubert ont réagi vivement contre ce résultat.
Le vote ne tenait pas compte de la volonté qu’ils ont exprimé de maintenir le droit aux feux, mais avec des règles strictes et précises, ont-ils indiqué.
Cependant, Xavier Léger soutient que dans tous les quartiers de Longueuil, il y a sensiblement le même pourcentage de gens déçus que de gens soulagés.
Il parle d’une question de santé et d’environnement.
M. Léger rappelle aussi qu’avant l’adoption finale du règlement, un vote a été fait sur l’amendement proposé par les élus de l’arrondissement Saint-Hubert et ce dernier a été rejeté.
Le directeur général a indiqué, lors de la séance du conseil et du vote sur la proposition d’interdiction sur les nuisances était de compétence Ville et non des arrondissements.
La présidente de Saint-Hubert, Nathalie Boisclair a rétorqué que « ce n’était pas une raison pour faire du mur à mur en interdisant partout. »
De son côté, M. Léger a soutenu dans un écrit, que si l’amendement avait été accepté, il aurait imposé à Saint-Hubert des restrictions contraignantes pour faire un feu extérieur au bois, voire même pour l’interdire indirectement pour bon nombre de résidents.