Le Service soutient, en effet, avoir pu établir clairement un lien entre les décès d’un piéton et d’un cycliste avec l’utilisation ou la possession d’un téléphone cellulaire.
Le SPAL recense aussi une vingtaine de collisions mineures dans ce même contexte depuis les 5 dernières années.
Ces collisions, bien qu’elles n’aient pas entraîné de décès, ont tout de même causé de légères blessures.
Ces événements ne sont donc pas à négliger, avertit l’agent relationniste pour le SPAL, François Boucher.
L’interdiction du téléphone cellulaire est élargie aux cyclistes et aux utilisateurs à la mobilité motorisée (AMM), telle qu’un triporteur, depuis 2018.
Les policiers demeurent toutefois impuissants à l’heure actuelle lorsqu’il s’agit des piétons.