Le ministre aimerait le rendre plus efficient et que les recommandations du BAPE soient plus contraignantes pour le gouvernement.
Il le désire même si ces changements potentiels font l’objet de critiques de la part de certains groupes environnementaux.
Il faut savoir que le Bureau d’audience publique en environnement date de 1978 et permet la participation du public aux projets environnementaux.
Son efficacité est souvent remise en question car certains le jugent long et coûteux et d’autres le voient comme un outil précieux pour la démocratie.
Benoît Charette croit qu’il serait possible de raccourcir le processus d’examen du BAPE, de préserver la légitimité du processus décisionnel environnemental et d’assurer la protection de l’environnement et le développement économique.
L’avenir du BAPE dépendra de l’issue de ce débat.