Ce pourrait être utilisé pour les autobus ou le métro et deviendrait possiblement un incitatif pour utiliser ces moyens de transport plus souvent.
L’organisme, apprend-on, procéderait à une évaluation des investissements et des retombées économiques d’ici une douzaine d’années.
L’idée derrière une telle proposition serait d’en faire éventuellement des usagers réguliers.
Le mode de fonctionnement serait, aussi en termes de développement, l’ajout d’un système de recharge mobile de la carte OPUS suivi par la suite, dans trois ans, du paiement par carte bancaire.
Il y aurait aussi la possibilité d’acheter son billet en ligne.
L’achat de titres avec son téléphone mobile aurait, semble-t-il, un effet positif sur l’achalandage dans le transport collectif.
L’ARTM pourrait aussi se tourner vers les codes QR pour développer des propositions tarifaires et des forfaits.