L’organisation affirme que le M. Charette, depuis sa prise de fonction en 2019, a détourné le rôle traditionnel du ministre de l’Environnement.
Il a choisit de servir les intérêts industriels, soutiennent le président de l’organisme, Henri Jacob, et le vice-président, Richard Desjardins.
L’inquiétude croît au fur et à mesure que des décisions controversées émergent, notamment la modification discrète d’une norme en juillet 2023.
Cette action a permis au projet privé de Northvolt de détruire des milieux humides sans justification publique, pour laisser la biodiversité en péril.
Action boréale réclame la rétrogradation de M. Charette, le considérant comme un « saboteur public ».
L’organisme a plusieurs dossiers sur lesquels le ministre ne semble pas actif, ajoute-t-il.
Il pense,, outre Northvolt, à la Fonderie Horne, le dossier des caribous ou les aires protégées.