Martin Bécotte tient même l’organisme en grande partie responsable de l’état vétuste de l’édifice de 21 logements sociaux, construit dans les années 1990.
Il ajoute que le bailleur de fonds et la SCHL ont négligé l’entretien préventif de la bâtisse durant des années.
M. Bécotte les tient responsables de sa dégradation et également de ne pas avoir fourni ses états financiers.
Cependant, la SCHL refuserait de payer pour rénover le bâtiment, soutient l’administrateur.
Il faut aussi savoir que La Villa a reçu près de 3 M$ pour construire une dizaine de logements supplémentaires.
L’argent provient de l’appel de projets de la Seconde Entente Canada-Québec.
Martin Bécotte insiste pour dire que la mise en chantier doit se combiner avec d’importants travaux de remise en état de l’immeuble.
Il se désole toutefois d’être incapable d’obtenir des enveloppes financières suffisantes pour faire ses rénovations.