La présidente de la Commission scolaire Marie-Victorin, Carole Lavallée, demande une consultation avant que le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, adopte son projet de loi 40 qui est présentement à l’étude.
De plus, madame Lavallée dénonce ce qu’elle appelle l’aspect discriminatoire de cette loi vis-à-vis les communautés anglophones.
Le ministre Roberge de son côté parle de faire des économies à hauteur de 45 M$ en abolissant les commissions scolaires, malgré le fait qu’il n’y aurait aucune perte d’emploi.
Carole Lavallée ne croit tout simplement pas ces chiffres.
Auteur: Patrick Berger