Ces citoyens se posent des questions et commentent via les réseaux sociaux.
Certains écrivent que peu d’information circulait sur les pages Facebook des conseillers et s’interrogent aussi où se trouvaient leurs élus durant cet épisode crucial.
Plusieurs se plaignent de n’avoir rien reçu via les messages SMS, vocaux ou par courriel et certains reprochent une faiblesse des communications en langue anglaise.
Toutefois, des résidents confirment avoir reçu toute l’information avec les outils informatiques de la Ville.
(Mais) d’autres rappellent que tous n’ont pas les mêmes moyens technologiques.
Le conseiller Carl Lévesque indique avoir partagé une publication avant et après l’avis d’ébullition.
Toutefois, des résidents lui affirment n’avoir pourtant rien reçu, même avec leur abonnement aux alertes.
Le conseiller rappelle qu’un post-mortem doit être fait par la Ville pour analyser les défaillances et travailler sur des correctifs.