Les victimes de leurre informatique de Simon PLANTE, 35 ans, auraient eu entre 13 et 15 ans et auraient été approchées via des plateformes « Messenger » et « Snapchat » ou « Facebook » notamment, à l’automne 2023.
Des faits comme incitations à des contacts sexuels, contacts sexuels, agression sexuelle lui sont aussi reprochés.
exhibitionnisme, voies de fait et possession de pornographie juvénile.
Il utilisait certains pseudonymes et mentionnait être dans la vingtaine.
Les enquêteurs de la DPTR ont des raisons de croire que l’accusé aurait pu faire d’autres victimes à Trois-Rivières, mais également dans d’autres villes du Québec.
Celles-ci auraient été choisies au hasard par le biais des médias sociaux.
Puisque plusieurs victimes ont été identifiées, la structure de gestion des enquêtes sur les crimes en série (GECS), coordonnée par la Sûreté du Québec, a aussi été déployée.