Il est jugé insuffisant pour répondre aux besoins croissants en matière d’hébergement et de soutien aux victimes de violence.
Le maintien des financements existants, soit 2,3 M$ pour les maisons de première étape et 1,3 M$ pour celles de seconde étape, inquiète fortement.
D’ailleurs, la directrice générale Manon Monastesse dénonce un manque de considération pour les réalités du terrain, où les refuges fonctionnent déjà en surcharge.
La crainte est grande pour les femmes et enfants qui pourraient se retrouver sans protection adéquate.
La FMHF reconnaît cependant l’octroi de 300 000 $ pour le projet ASIFI, visant à soutenir les survivantes immigrantes.
Elle salue aussi les 1 000 nouvelles unités de logements subventionnés, mais insiste sur l’urgence d’investir dans des logements sociaux permanents pour assurer une sécurité durable.