La mise en demeure, remise au président-directeur général et au président du conseil d’administration de l’établissement, exige que le CISSS renonce à la signature du contrat de sous-traitance.
Si ce n’est pas le cas, le syndicat se réserve le droit de recourir à des mesures légales.
La FSSS-CSN souligne que, conformément à la convention collective, ce dernier doit recevoir toutes les informations nécessaires pour proposer une alternative publique viable, ce qui n’a pas été fait.
Il ajoute que «c’est le portefeuille des contribuables ainsi que l’autonomie des services de 22 établissements qui est en jeu.»
Cette action s’inscrit dans une série de démarches, incluant une pétition de 1073 signatures, visant à maintenir la buanderie sous gestion publique et remise au ministre Lionel Carmant ce mois-ci.