Mme Li soutient dans sa poursuite devant la Cour du Québec que la mairesse aurait tenu des propos diffamatoires concernant l’affaire des « postes de police chinois ».
Ce serait aussi lors de publications Facebook et des interviews de Mme Assaad comme sources des propos diffamatoires.
Elle réclame 68 000$ en dommages-intérêts.
Selon elle, des affirmations de Mme Assaad ont provoqué un stress intense et nui à ses relations de travail, l’obligeant même à s’isoler et à consulter un médecin pour y faire face.
Cette affaire est liée à l’enquête de la GRC sur deux centres communautaires chinois soupçonnés d’ingérence étrangère.
Mme Assaad n’a pas encore commenté la poursuite, alors que de son côté la GRC nie toute accusation d’ingérence étrangère.
La Cour du Québec devrait statuer sur la recevabilité de la poursuite.