Elle a donc effectué une demande à cet effet ce jeudi à la ministre des Services publics et de l’Approvisionnement, Helena Jaczek.
L’organisme s’oppose ainsi aux méthodes de la compagnie Transcontinental, responsable de la commercialisation des publisacs.
Celle-ci s’est tournée vers Postes Canada, une société fédérale, pour contourner des règlements municipaux et continuer de livrer systématiquement ses publicités.
De plus, la CMM juge que la distribution de circulaires nuit à son Plan métropolitain de gestion des matières résiduelles.
Le nombre d’imprimés publicitaires distribués à une seule adresse pendant un an totalise en effet 26 kilos de déchets, selon l’organisme.
La CMM veut enfin la mise sur pied d’un comité de travail regroupant tous les intervenants concernés.
Celui-ci aurait pour mandat de trouver des solutions à cette problématique et répondre aux enjeux environnementaux.