Cette seconde dose de rappel n’était auparavant disponible qu’aux personnes âgées de 60 ans et plus, aux résidents en CHSLD ou RPA et aux personnes immunosupprimées.
La directrice scientifique au Centre de recherche Charles-Le Moyne, Dre Maryse Guay, précise que l’administration de la 4e dose demeure un choix personnel.
En effet, les gens qui ont déjà reçu les deux premières doses recommandées par la santé publique, ainsi qu’une dose de rappel, sont adéquatement protégées.
Les complications de la maladie ne les affecteront pas autant.
Une dose de rappel supplémentaire ne sert concrètement qu’à regagner les anticorps perdus avec le temps.
Toutefois, Dre Guay recommande cette 4e dose, puisqu’il est probable qu’une 7e vague de COVID-19 touche la province l’automne prochain.
La directrice scientifique croit donc qu’il est important pour chacun de « se situer » en conséquence.