Lemire juge les priorités du PTI mal orientées.
Il a voté contre lors de l’assemblée extraordinaire du 20 août.
Selon lui, les investissements proposés sont totalement hors champs des besoins urgents des infrastructures souterraines vulnérables aux changements climatiques.
La preuve a été donné lors des récentes inondations, soutient-il.
Ces infrastructures sont rendues incapables de gérer de telles quantités d’eau, donc il plaide pour des investissements massifs dans les égouts, la collecte d’eaux pluviales et l’aqueduc.
Jacques Lemire critique aussi le manque de réactivité et de communication lors des crises.
Il ajoute que le vice-président du comité exécutif, Jonathan Tabarah a avoué à la séance du Vieux-Longueuil que la Ville a connu des ratées de communication.
Lemire estime que les mesures préventives doivent être clarifiées et que des fonds supplémentaires doivent être alloués pour moderniser les systèmes en réponse aux défis climatiques.