Le ministre de l’Éducation Bernard Drainville, a présenté sa stratégie vendredi dernier.
Ainsi le regroupement craint qu’une charge de travail supplémentaire ne pèse sur les épaules du personnel.
C’est ce que l’on peut lire dans un communiqué diffusé par le Syndicat sur les réseaux sociaux.
Celui-ci juge également « qu’il y a eu une occasion manquée (du ministre) de donner la parole aux représentants du personnel scolaire ».
Il s’agit de la meilleure approche pour trouver des solutions adaptées « à la réalité du terrain », selon le Syndicat.
Par ailleurs le regroupement affirme qu’il y a eu une explosion de cas de violence après la pandémie. Une situation qu’il a vivement dénoncée.
Le personnel de soutien et les enseignants ont été affectés, dit-il.
Le Syndicat rappelle néanmoins que les écoles ont déjà l’obligation de se doter « d’un plan de lutte contre l’intimidation et la violence ».