Le Centre intégré de santé et de services sociaux de la Montérégie-Est (CISSS-M-E), assure qu’il s’agissait d’une situation exceptionnelle.
Il fallait trouver une remplaçante de soir, à l’étape du triage ce qui nécessite une expertise.
Le porte-parole du CISSS M-E Hugo Bourgoin, a confirmé au FM 103,3, que ces employées qui n’avaient pas cette expertise sont rentrées chez-elles à la fin de leur quart de travail.
Il en est de même pour celles, qui avaient des obligations familiales.
Selon la présidente locale de la Fédération Interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) Brigitte Petrie, cette situation ressemblait à une « prise d’otages », car le groupe est resté sur place durant près de trois heures.
Le syndicat dit que ses membres ont senti une pression de leur employeur.