La Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) dit que des employées ont été « forcées » de rester au travail.
Selon le syndicat cette situation serait survenue le 6 juin au département de natalité.
Une porte-parole de l’établissement soutient « qu’une augmentation de l’acuité des soins en néonatalogie » justifiait l’ajout d’une infirmière.
De plus la gestionnaire est demeurée en poste toute la nuit avec l’équipe de cette spécialité.
Par ailleurs l’établissement maintient que des mesures sont en place pour limiter l’utilisation du temps supplémentaire obligatoire (TSO).
Et les périodes de TSO ont diminué dans l’aile des natalités.
Ce département compte 45 quarts de travail entre septembre et octobre 2021 et 8 entre avril et mai 2022.
On doit également se rappeler que l’ensemble du réseau fait face à une importante pénurie de main d’œuvre.
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