La Presse rapporte que le président et chef de la direction d’Héroux-Devtek, Martin Brassard, voit une possibilité de contrat dans cet éventuel entretien.
Ce serait pour ainsi dire une retombée positive pour cette entreprise déjà partenaire du F-35.
Elle y fabrique les portes de verrouillage des trains d’atterrissage.
Toutefois, la direction d’Héroux-Devtek n’aurait pour le moment aucune garanti que ce type de contrat d’entretien pourrait lui être confié, rapporte le quotidien.
Le fédéral devrait faire l’achat de 88 avions de combat F-35 au coût de 19 G$ et son estimation grimpe à 70 G$ sur le cycle complet de vie des appareils.
Le maître d’arme dans ce dossier serait le géant Lockheed Martin qui choisirait les sous-traitants avec qui elle ferait affaire.