C’est ce qu’il a dit à Hugo Joncas de La Presse.
L’entreprise ne construira plus de complexe immobilier ou d’édifices et change de vocation.
Le gestionnaire affirme ne plus avoir le droit de construire, mais peut être propriétaire de bâtiments.
Ainsi, en compagnie de son partenaire d’affaires, Serge Rouillard, ils vont désormais confier les constructions à divers entrepreneurs généraux licenciés.
Ils en deviendront, d’une certaine façon, les clients.
L’un de ses entrepreneurs est d’ailleurs le fils d’un propriétaire, de façon transitoire, rapporte le quotidien.
Trigone aurait sélectionné et remis leurs chantiers de constructions à quatre groupes.
On peut rappeler que le Tribunal administratif du travail confirme une décision, précédemment contestée par Trigone, de fermer tout chantier sous le contrôle des deux associés.
L’activité a même paru reprendre sommairement au chantier du projet locatif Axcès Trigone/Viva-Cité, à Saint-Hubert cette semaine.