Cette dernière va se poursuivre jusqu’à jeudi, le 13 mai, à midi.
Le syndicat du cégep entre ainsi dans la danse et suit l’exemple de 43 autres syndicats de professeurs au Québec.
Le syndicat des employés de soutien et celui du personnel professionnel se joignent aussi aux professeurs d’Édouard-Montpetit, mais à différents moments.
Ces actions de perturbation visent à faire débloquer les négociations qui piétinent avec le gouvernement Legault.
Les demandes sont toutefois cohérentes avec les objectifs en éducation du gouvernement, selon les professeurs du cégep.
La secrétaire-trésorière du SPPCEM, France Demers, indique que la grève n’est pas un choix fait de gaîté de cœur.
C’est plutôt parce que les professeurs sentent que le gouvernement fait « la sourde oreille » et « les poussent à bout ».
Une marche est aussi prévue jeudi en avant-midi en direction du bureau de Lionel Carmant, député de Taillon.