Le président Robert Myles souligne que la refonte de la loi 101 ne doit pas se faire au détriment des services offerts aux citoyens de langue anglaise.
De plus, il ajoute que l’arrondissement est reconnu bilingue selon la charte de la langue française et selon l’acte 12 de la charte de la Ville de Longueuil.
Ainsi, l’arrondissement doit conserver son statut bilingue et ce même si la Ville de Longueuil veut se positionner avantageusement pour l’utilisation du français.
Les élus de Greenfield Park se disent confortable avec cette volonté, mais selon Robert Myles ce mouvement ne doit aucunement altérer le statut historique et les services aux citoyens de l’arrondissement.
M. Myles veut que le statut bilingue de Greenfield Park persiste jusqu’à ce que Québec exerce une volonté de lui retirer, ce qu’il espère n’arrivera jamais.