Ils prévoient adopter une résolution affirmant leur volonté de le garder et la faire suivre à l’Office québécois de la langue française.
Ils accueillent favorablement l’arrivée du projet de loi 96 du gouvernement Legault pour protéger le rayonnement du français au Québec.
Ils sont aussi en accord avec le respect des droits des minorités historiques d’expression de langue anglaise.
Le président Robert Myles a donc l’intention de revendiquer les droits des 26 % de citoyens de langue anglaise de Greenfield Park.
Le projet de loi introduit dans la Charte de la langue française un mécanisme de retrait du statut bilingue des localités de moins 50% de citoyens anglophones.
M. Myles écorcherait au passage la candidate à la mairie de Longueuil Catherine Fournier qui applaudit le projet de loi 96.
Il indique que la décision appartient à la communauté de Greenfield Park.
«Ils auront l’opportunité de se prononcer le 7 novembre prochain et… rejeter les personnes qui cherchent à provoquer la chicane et la division dans la communauté unie de Greenfield Park.»