En fait, en l’absence d’avancées, une grève pourrait être déclenchée à un moment jugé opportun et elle pourrait être en heures, en demi-journées, en journées ou en blocs de quelques journées
Ces travailleuses, membres de la FIPEQ-CSQ, espèrent par cette action inciter le gouvernement à déposer des offres et à entamer les négociations.
Celles-ci seraient stagnantes depuis l’expiration de leur convention collective le 31 mars 2023.
Le vote doit se dérouler du 8 au 16 mai.
Cette décision fait suite à une année sans négociations concrètes, affirme la présidente de la FIPEQ, Valérie Grenon.
C’est aussi malgré les rencontres préliminaires focalisées sur la situation financière du Québec plutôt que sur les revendications spécifiques des syndiqués.
La présidente du Conseil du trésor, Sonia LeBel, avait indiqué, en février, qu’avant de déposer ses offres, elle voulait attendre les demandes des autres organisations syndicales.