En effet, le SPAL a été retenu pour le développement de pratiques « exemplaires » en matière policière.
Il va donc recevoir une subvention de 700 000 $ sur deux ans pour ce projet.
L’objectif est d’offrir une meilleure réponse aux difficultés sociales, reliées à la santé mentale sur le territoire.
De plus, le Service de police pourra aussi aider les jeunes âgés de 12 à 17 ans, avec l’embauche d’un intervenant en protection de la jeunesse.
La Ville pourrait utiliser une subvention du fédéral pour cette nouvelle ressource dont le mandat débute en avril.
Par ailleurs, la Ville collabore aussi avec la Sûreté du Québec (SQ) pour les services d’un sergent-détective dans le cadre des programmes Accès tabac et Accès cannabis.
Enfin, la vice-présidente de la Commission de la sécurité publique, Affine Lwalalika, va aussi se pencher sur le profilage racial.