En effet l’Association de parents de l’enfance en difficulté (APED) a besoin de futurs psychologues et de travailleurs sociaux.
La gestionnaire de l’APED Marilou Fuller, rappelle que la pénurie de main d’œuvre sévit toujours dans le milieu communautaire.
Elle juge qu’une hausse de financement permettrait d’offrir de meilleurs salaires au personnel.
Parallèlement les diagnostics chez les jeunes sont devenus plus complexes au fil du temps.
Il y a actuellement 275 familles membres de l’APED.
En entrevue avec le FM 103,3, Mme Fuller explique quel est l’impact de cette situation sur les services offerts.
Par ailleurs même les enfants sans pathologie spécifique ont besoin de stabilité au sein des équipes.
Ainsi l’idéal est de garder les mêmes intervenants pour les ateliers et aussi pour le service de répit.