L’un d’eux a justement qualifié les chiffres de « désuets » à l’assemblée chapeautée par l’Office de participation publique de Longueuil (OPPL)
En effet la mesure des particules fines dans l’air provenant du bois brûlé date de 2002 à 2008.
Le porte-parole de la Ville de Longueuil, Louis-Pascal Cyr, a expliqué que le feu de bois a un impact considérable sur la qualité de l’air et que ce constat est encore vrai aujourd’hui.
Il a aussi ajouté que les données présentées à la séance sont les plus récentes et les plus précises disponibles.
Par ailleurs une autre résidente, Julie Poirier, se demande pourquoi le volet « nuisance » est différent dans chaque arrondissement.
M. Cyr explique que Longueuil a « hérité » de la règlementa-tion en vigueur lors de la fusion villes dans les années 2000.
Par conséquent, les règlements des arrondissements ne sont pas uniformes.
Enfin, les commissaires ont rappelé que l’OPPL n’a pas de pouvoir décisionnel, mais que l’organisme enverra ses recommandations aux élus.
La prochaine séance d’information est prévue le 15 février dans l’arrondissement du Vieux-Longueuil. Celle de Saint-Hubert se tiendra le 21 février.