C’est ce que constate la directrice générale de la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes, Manon Monastesse.
En entrevue sur nos ondes, elle assure qu’il faut voir cette donnée de façon positive.
Mme Monastesse ajoute que les six premiers mois d’une séparation représentent une période critique pour les femmes victimes de violence conjugale.
Les risques de féminicide ou de filicide sont alors accrus.
Elle mentionne aussi que la prévention de la violence devrait commencer au plus jeune âge.
Enfin, elle dénonce les images véhiculées sur le web, dans les publicités et sur les médias sociaux.
La Montérégie compte six établissements membres de la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes.