La Table régionale des organismes volontaires d’éducation populaire (TROVEP) de la Montérégie réclame que Québec écoute la science concernant la crise environnementale.
L’organisme souhaite que le gouvernement le fasse avec autant de respect qu’il le fait relativement à la COVID-19.
Des manifestants étaient présents, le 16 novembre, aux bureaux des députés Lionel Carmant, Ian Lafrenière et Nathalie Roy.
C’était en marge du dépôt du plan gouvernemental de réduction des gaz à effets de serre de 37,5 % d’ici 2030.
Ces organismes d’éducation populaire critiquent l’approche de miser sur la carboneutralité, soit que l’État paye pour les émissions de GES qui n’ont pu être réduites.
Ils disent que le gouvernement doit viser la réduction immédiate et drastique des émissions.
Ils voulaient, par leur action, partager et mettre en application un plan d’action élaboré par un regroupement citoyen pour minimiser les impacts de la crise climatique.
La TROVEPS s’inquiète des vagues de chaleur plus fréquentes qui affectent les populations vulnérables et des répercussions sur le plan alimentaire.
Journaliste : Simon Deschamps