Dans les faits, des objets incendiaires ont été placés sous de la machinerie sur le site de la future usine de batteries, mettant en danger les employés.
« Ce vandalisme aurait pu causer des blessures graves aux employés qui n’ont pas à subir la grogne de certains », souligne la présidente-directrice générale de la CCIVR, Julie La Rochelle.
L’entreprise suédoise a d’abord fait mention de « bombes artisanales » dans son communiqué transmis aux médias, pour finalement se raviser et utiliser le terme « objets incendiaires ».
Les dispositifs de déclenchement de ces objets n’ont cependant pas fonctionné.
Le P-D-G de Northvolt Amérique du Nord, Paolo Cerruti, a dénoncé ces actes de vandalisme et affirme que l’entreprise est déterminée à aller de l’avant avec le projet.