Le président du syndicat de Champlain, Jean-Francois Guilbault, soutient que les négociations piétinent.
Toutefois, un conciliateur a été nommé hier et se présente ce matin aux trois journées de négociation.
Le syndicat souhaite un « déblocage » et que le conciliateur pourrait « ouvrir des portes ».
Selon M. Guilbault, cette situation apporterait une pression supplémentaire au gouvernement et permettrait de faire avancer les discussions.
L’enjeu majeur c’est aussi, selon lui, la pérennité des services publics au sein de la société.
Enfin, même si les syndiqués sont conscients de la pénurie de main d’œuvre, ils estiment que Québec doit regarder à moyen et long terme pour améliorer les conditions de travail et attirer d’autres personnes dans la profession.