Ils ont été nombreux à prendre la parole lors de la séance publique du conseil mardi soir.
L’ex-syndicaliste Jean Lapierre a même demandé aux élus comment ils vont s’assurer d’abattre le bon nombre de bêtes.
D’autres ont affirmé qu’il existe une différence entre une bête sauvage et une bête habituée à côtoyer quotidiennement l’être humain en pleine nature.
Le scénario envisagé par Sauvetage Animal Rescue et certains citoyens, soit celui de déplacer les cerfs ou de les stériliser a aussi été ramené.
René Grignon, résident responsable pendant un long moment de les nourrir, a parlé de massacre envers des bêtes.
Des bêtes que la Ville a elle-même nourri durant des décennies.
Il craint aussi que l’opération ne dérape et demande ce que la Ville fera en de telle circonstance.
La mairesse Catherine Fournier a tenu à souligner que l’équilibre du parc est menacé.
Selon elle, le dossier de déplacement des cervidés a toujours été rejeté par instances compétentes et crédible.
Selon elle, la Ville doit prendre une décision basée sur la science et rien n’est décidé de gaité de cœur.
En fin, la population de cerfs serait d’environ 115, selon la Ville et de moitié moins, selon les défenseurs des cerfs.