Le FM 103,3, a appris que 11 infirmières auraient prolongé leur journée de travail de force, pendant plus de deux heures.
Il manquait un employé, à l’horaire du vendredi soir.
L’employeur du département, aurait fait pression sur les membres pour que l’une d’elles se porte volontaire.
Selon la représentante locale de la Fédération Interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) Brigitte Petrie, il s’agit presque d’une « prise d’otages ».
Après un an de pandémie, les conditions de travail déjà ardues se sont détériorées et ils sont nombreux à quitter le navire, témoigne-t-elle.