Cette explosion de coût serait due à la COVID, aux hausses de l’acier et aux crises de main-d’œuvre et d’approvisionnement, nous apprend La Presse.
Cette usine, détenue en partie par trois MRC de la Montérégie et traitant les matières organiques de 700 000 citoyens, fait face à des défis financiers.
Elle y est confrontée malgré une subvention initiale de 19 M $ de Québec.
La SEMECS espère un soutien supplémentaire de 15 M $ pour absorber ces dépassements, et la ministre de l’Économie et de l’Énergie Christine Fréchette évalue la demande.
Une marge de crédit de 52 millions a été contractée afin d’assurer la continuité, mais un emprunt hypothécaire serait envisagé pour rembourser à terme.
Les contribuables seraient épargnés d’une hausse de coûts, bien que le tarif actuel soit déjà élevé.
La SEMECS espère une rentabilité future malgré les défis opérationnels liés aux déchets non adaptés, comme le gazon, qui freinent l’usine.