Les opposants à l’euthanasie d’environ 70 cerfs au parc estiment que le conseiller longueuillois fait fausse route avec son message d’euthanasie.
Selon eux, il refuse de s’inspirer des meilleures pratiques internationales éthiques et innovantes pour le bien des cervidés.
Il omettrait de consulter des experts en bien-être animal et des organismes de protection des animaux sur ce sujet.
Ils parlent même d’entêtement.
C’est surtout après les explications qu’il a donné pour justifier l’euthanasie au plus récent conseil de ville.
« Ce qu’il appelle euthanasie est en fait cages, stress, pistolet percuteur, assommage, convulsions de l’animal et balle dans la tête. Bref un abattoir pour 70 cerfs incluant des jeunes faons et des femelles enceintes » soutiennent les opposants.
Ils estiment qu’il est possible de prendre soin du parc et de sa régénération sans pour autant sacrifier des animaux.
Les manifestants affirment toujours que la stérilisation et le déplacement des bêtes sont des méthodes qui fonctionnent ailleurs, preuve à l’appui, disent-ils.
La Ville risque aussi, ajoutent-ils, de se retrouver devant les tribunaux et de mal paraître à travers le Canada et les États-Unis.