La superficie de ces espaces à protéger correspond à 5 % du territoire de la ville.
L’administration municipale prévoit connecter et, le cas échéant, restaurer ces sites à travers le Réseau vert de Saint-Constant.
Ce réseau inclus les bandes riveraines des rivières Saint-Régis, Saint-Pierre et de la Tortue.
La Ville espère aussi raccorder ce réseau à la trame verte et bleue de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM).
Selon le maire, Jean-Claude Boyer, il s’agit de la première phase d’une importante transition écologique qui passe par la protection de sites d’intérêt faunique et floristique.
L’exercice se poursuivra conformément au Plan directeur de développement durable 2021-2030 de la Ville.