Le président du C.A. de DASH-L, Charles Vaillancourt, compte notamment sur la création d’appareils électriques pour préserver l’environnement.
Un autre avantage est de réduire le bruit, un enjeu qui est au cœur de ces audiences.
DASH-L veut offrir des services complémentaires à ceux de l’Aéroport Montréal-Trudeau.
Par ailleurs le regroupement estime à 1 G$ les retombées économiques de l’aéroport de Saint-Hubert, en plus des 5000 emplois liés à l’industrie.
Pour sa part, la Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud (CCIRS) s’attend à une augmentation du nombre de touristes.
Sa première vice-présidente Isabelle Foisy, veut également encourager les entreprises existantes.
Du côté d’Aéroports de Montréal (ADM), Martin Massé, s’oppose au projet.
Selon lui, un nouvel aéroport diviserait les vols internationaux.
Le gestionnaire estime que cette démarche va à l’encontre du développement durable.
Enfin, l’organisateur et député de Longueuil-Saint-Hubert, Denis Trudel, n’a pas caché son enthousiasme en ce premier jour des activités.
Il fait confiance au processus et à l’intention d’avoir une meilleure vue d’ensemble.
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