Tout d’abord, la Commission doit émettre des recommandations pour que les cinq villes liées réduisent leurs émissions de gaz à effet de serre (GES).
Elle devra également assurer le suivi de l’élaboration du Plan régional des milieux humides et hydriques (PRMHH) de l’agglomération de Longueuil.
Ce plan vise à « confirmer la valeur écologique de certains milieux et d’intégrer leur conservation dans la planification de l’aménagement du territoire. »
La Commission doit enfin « formuler des recommandations au conseil d’agglomération » pour que celui-ci atteigne certains objectifs de valorisation des matières résiduelles.
À noter que ce sont le gouvernement du Québec et la Communauté métropolitaine de Montréal qui fixent ces objectifs.
La conseillère municipale et présidente de la Commission, Lysa Bélaïcha, déclare que ces mandats « ne sont qu’un début » pour son organisme.
Elle assure que les membres de la Commission ont « l’intention de déployer des efforts proportionnels à l’ampleur du défi » qu’est la protection de l’environnement.
Par ailleurs, la mairesse, Catherine Fournier, qualifie de « colossal » le travail que doit faire la Commission.
Elle est confiante toutefois de la détermination de ses membres d’accomplir le ces tâches « avec rigueur. »