Le Journal de Québec rapporte que 170 syndiqués et une trentaine de cadres ont reçu une note leur indiquant que leur poste serait coupé autour du 22 janvier prochain.
Ce serait la seconde mise à pied permanente dans l’entreprise.
Une première vague de licenciement collectif est d’abord prévue le 3 octobre.
Un peu plus de cent travailleurs perdront leur emploi à ce moment là.
Des dizaines d’employés ont déjà quitté leur travail au cours des derniers mois.
Il faut rappeler que Dare devait fermer ses portes en juin 2020 pour déménager ses activités dans ses nouvelles installations à Cambridge, en Ontario.
Toutefois, le processus a été retardé en raison des mesures sanitaires qui ont ralenti de mise en place de tous les équipements dans l’usine ontarienne.
Enfin, la compagnie affirme offrir des indemnités de départ, mais est consciente du choc que peut provoquer une fin d’emploi sur le personnel.
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