C’est le cas notamment pour la construction par Devimco Immobilier de deux tours locatives de 22 étages dans le secteur du métro Longueuil – Université-de-Sherbrooke.
Des manifestants ont d’ailleurs tenu une performance théâtrale vendredi dernier dans ce secteur.
Les organismes veulent voir des investissements dans le logement social à Longueuil et ailleurs au Québec.
Le CLRS rappelle que le taux d’inoccupation est aussi bas que 1,3% à Longueuil en passant par 0,3% à Saint-Constant et 0,1% à Saint-Bruno-de-Montarville.
Le Comité craint que la rareté des logements locatifs, doublée aux conséquences économiques de la crise sanitaire et de la spéculation immobilière, n’aggrave les problèmes des ménages déjà mal-logés.
De plus, le nombre de plaintes relatives à du harcèlement et de l’intimidation est en hausse pour que des locataires quittent leur logement ou subissent des hausses de loyers abusives.
Il faut une volonté politique, dit-il, pour investir dans un grand chantier de 50 000 logements sociaux en 5 ans, dont 1 745 pour Longueuil.