Les centres d’hébergement pour femmes, l’organisme Entraide pour hommes, la DPJ, le DPCP, le CAVAC et les CISSS de la Montérégie-Centre et Montérégie-Est ainsi que le SPAL se donnent une obligation de 100% d’efforts pour améliorer leurs interventions pour protéger les femmes.
Selon un quotidien montréalais, au lieu qu’un organisme appelle simplement le 911 s’il y a risque sérieux de penser qu’une femme est en danger, la cellule de crise se mettra en action en moins de 24 heures.
Ces acteurs vont collaborer ensemble et vont se partager les informations de leurs dossiers.
Ils ne seront plus tenus à la confidentialité.
Marie-Christine Plante, adjointe à la direction du Carrefour pour Elle, salue ce travail de collaboration
Mme Plante incite aussi les gens à appeler le 911 s’ils suspectent qu’une femme se trouve dans une situation de violence conjugale.
Depuis le début de l’année, le Québec a enregistré 10 féminicides, dont le plus récent, le 17 avril, à Mercier en Montérégie.