Elle estime qu’un plan d’action pour l’itinérance serait inévitable, surtout à la suite des dommages sur certaines inégalités sociales que peut avoir causé la pandémie.
Ces dommages peuvent s’apparenter à une itinérance plus visible, obligeant les organismes communautaires présents sur le terrain à intervenir plus fréquemment.
Dans les faits, l’équipe de Mme Fournier préconise la recherche de solutions à longs terme, et ce, de concert avec les forces du milieu telles les CISSS, le Service de police de l’agglomération de Longueuil (SPAL) et les organismes régionaux.
Catherine Fournier ajoute que ces derniers doivent être soutenus.
En effet, le logement d’urgence et les services d’aide aux personnes itinérantes doivent être développés.
Enfin, le plan d’action contiendrait plusieurs initiatives et actions pour accroître les ressources d’aide pour toutes les femmes et hommes en itinérance et par la nécessité en hébergement.