La première de ces nouvelles priorités consiste à « réduire les effets des changements climatiques sur la santé ».
La santé publique veut donc réaliser une analyse des risques climatiques et en établir un plan d’adaptation, qui va se concentrer sur les personnes et groupes les plus affectés par ce genre d’événements.
L’organisme a aussi pour objectif de « favoriser le vieillissement en santé ».
Le vieillissement de la population se prononce effectivement de plus en plus.
La santé mentale des jeunes est également une priorité pour la Direction, puisque ses données démontrent l’impact de la pandémie sur ce groupe d’âge.
En effet, un jeune de 12 à 25 ans sur deux rapportait en 2021 des symptômes compatibles avec un trouble d’anxiété généralisée ou une dépression.
Enfin, la Direction de santé publique veut « se préparer à d’éventuelles urgences sanitaires », pour être prête à agir en cas d’une épidémie ou d’un incident environnemental.