Elle a rappelé que la Ville n’est pas décideur pour les projets actuels et futurs du secteur des opérations aéroportuaires.
Cependant, Longueuil a le pouvoir, et l’intérêt, de voir au développement de la portion qui se trouve à l’extérieur de la zone, sous juridiction fédérale.
Mme Fournier soutient que l’Aéroport va mettre à disposition de la Ville 50 000 mètres carrés pour du développement voué à l’innovation axé sur l’énergie verte.
Catherine Fournier a ainsi répondu aux nombreuses questions qui lui ont été posées mardi dernier par des citoyens inquiets.
Ils s’inquiètent de la venue prochaine des avions de la compagnie Porter Airlines.
Les soucis des citoyens portaient en partie sur les projets à venir et sur ce qu’ils appellent un manque de transparence des gestionnaires de l’Aéroport.
Ils ont le sentiment d’assister à un manque de transparence et ne pas être considéré dans ce dossier.
Le chef de l’opposition Jacques Lemire rappelle de plus que les citoyens sont en droit d’obtenir des réponses face au développement.
Ils ont aussi le droit de connaître les risques environnementaux, les émissions de GES et le bruit généré par ces projets.
La mairesse estime que le climat de négociations entre les deux instances repose sur une base de développement collaboratif.
Ce développement est en respect avec des paramètres liés au souci collectifs et social.
Mme Fournier voulait aussi rappeler les résultats compilés des consultations faites précédemment par l’OPPL.
Une manifestation de citoyens avait lieu juste avant le conseil devant l’hôtel de ville de Longueuil.