Il lui a fallu expliquer aux citoyens inquiets le peu de pouvoir de la Ville face à l’entreprise décideuse.
Il faut savoir que les élus sont à maintes reprises interrogés sur la pertinence d’accepter des projets semblables avec les impacts environnementaux.
D’autres croient qu’il faut faire des études d’impact et relire davantage le rapport des audiences de l’OPPL.
Ils croient qu’il faudrait développer la zone aéroportuaire sans pour autant augmenter le nombre de vols.
Mathieu Péladeau
Catherine Fournier dit comprendre les préoccupations citoyennes, mais rappelle que DASH-L est libre de faire ses propres projets à l’aéroport sans impliquer la Ville.
Cependant, ajoute-t-elle, il s’est établi un climat de communication entre l’organisme et la Ville.
Ce climat est pour faire du développement harmonieux sans augmenter les vols.
La mairesse croit qu’il faut donner le temps au relations d’affaires de prendre forme et de voir des premiers résultats.